Nombreux sont les gamers à avoir imploré Square Enix de faire revenir l’héroïne de la série Parasite Eve sur le devant de la scène. Près de 10 ans après avoir disparu des radars, Aya Brea est finalement de retour, non plus sur consoles de salon, mais sur portables. Sur PSP, pour être exact. Et si le support à évolué, le charme de la demoiselle, lui, demeure intact…
Il y a des héroïnes dans le monde du jeu vidéo qui marquent les joueurs. Aya Brea en fait indéniablement partie. Il faut dire que la belle dispose d’atouts de charmes, régulièrement mis en avant par ses créateurs tout au long du déroulement des 2 premiers volets de la saga Parasite Eve. Et puisque je n’ai pas pour habitude de faire durer le suspense, sachez que vous pouvez arrêter de retenir votre souffle. Oui, l’équipe en charge de développer The 3rd Birthday a également décidé de jouer des atouts de la belle, et il vous sera parfois autorisé d’admirer quelques parties de son corps d’habitude cachées. Pour autant, il serait erroné de résumer cette production à un jeu mêlant fusillades et belle pépé. Car en fait, le constat qu’on peut tirer de cette production est tout autre. Si ce 3ème volet de la saga s’est définitivement éloigné du genre du RPG pour embrasser celui du TPS, sans doute plus vendeur en 2011, il n’en reste tout de même pas moins doté d’un système de jeu solide solide. Projeté dans un 2012 aux allures chaotiques, vous allez devoir enrayer la menace du moment grâce à une technologie dont vous êtes la seule (oui, je m’exprime comme si vous étiez dans la peau de Brea) à pouvoir tirer parti. Une question d’ADN, que vous allez d’ailleurs pouvoir trifouiller entre chaque niveau, dans le but de vous constituer des caractéristiques toujours plus gonflées. Mais revenons à nos moutons: comme je vous le disais plus haut, le jeu est désormais proche du TPS pur jus. Ainsi, vous ne serez pas étonné d’apprendre qu’il est scindés en niveau, entrecoupés de phases où vous pourrez booster votre personnage et son arsenal. Jusque là, rien de bien transcendant, la plupart des productions du genre sur consoles de salon utilisent déjà ce squelette, à peu de choses près.
Oui, mais. Car The 3rd Birthday tire sa force d’un point très particulier. La possibilité pour la belle “d’intégrer” si je puis dire le corps de ses alliés, pour prendre leur place, mais également leur barre de vie ainsi que leurs munitions. Mine de rien, ce point amène à lui seul une once de tactique aux gunfights qu’il serait idiot de négliger. Plutôt que d’offrir un banal TPS où il est question d’avancer de salles en salles, vidant chargeurs sur chargeurs, les développeurs du soft ont décidé de nous offrir un jeu, certes très cadré en terme d’évolution, et qui pourra sans doute tirer quelques souffles à ceux mal à l’aise dans les couloirs, mais basé sur des mécanismes réactifs, qui font évidemment tout la différence. Mécanismes sublimés par 2 autres astuces bien trouvées, qui vont permettre à votre personnage d’aller s’immiscer dans le corps d’un ennemi dès qu’il se trouvera mal en point (et donc, de l’éradiquer immédiatement), mais également de passer dans un état proche de la transe, qui vous poussera à devoir réagir vite, en cherchant la solution pour accumuler le plus de dégâts sans perdre la moindre seconde. Pour autant, tout n’est pas rose dans ce 3rd Birthday. A commencer par l’obligation de subir un mode de visé assisté (à de rares exceptions près), qui fera rager les puristes. Pour autant, impossible de ne pas concéder que le principe s’adapte étonnamment bien au genre, pour cette fois… Et puis, si l’on fait fi de la répétitivité, talon d’Achille par excellence du genre, on ne pourra par contre pas passer outre la lourdeur du scénario, entouré du début à la fin par des zones de flou que les joueurs peu familiers avec la série auront bien du mal à percer, et qui, dans la globalité déçoit. On est bien loin de la trame complexe de Parasite Eve premier du nom. Mais était-ce vraiment là le propos?
Si vous vous attendiez à un mélange entre RPG et TPS, c’est râpé ! Si The 3rd Birthday intègre quelques éléments du premier genre (notamment dans la gestion de votre ADN), il n’en reste pas moins qu’il s’articule principalement autour de fusillades, sublimées par des mécanismes de jeu rudement bien trouvées. Revendiquons-le: la PSP est ici tombé sur une perle, qui aurait sans doute gagné à hérité d’un scénario cohérent, mais qui aligne de toutes façons déjà assez de bons points pour mériter de figurer dans votre ludothèque!
Le verdict?
Que signifie cette pastille?
Les +
Un système de jeu bien trouvé
Aya Brea, toujours aussi charismatique
Un replay-value bel et bien présent
Une réalisation graphique plus qu’honorable
Les –
Un scénario flou et mal amené
Un peu répétitif tout de même
Nombreux sont les gamers à avoir imploré Square Enix de faire revenir l’héroïne de la série Parasite Eve sur le devant de la scène. Près de 10 ans après avoir disparu des radars, Aya Brea est finalement de retour, non plus sur consoles de salon, mais sur portables. Sur PSP, pour être exact. Et si le support à évolué, le charme de la demoiselle, lui, demeure intact…
Il y a des héroïnes dans le monde du jeu vidéo qui marquent les joueurs. Aya Brea en fait indéniablement partie. Il faut dire que la belle dispose d’atouts de charmes, régulièrement mis en avant par ses créateurs tout au long du déroulement des 2 premiers volets de la saga Parasite Eve. Et puisque je n’ai pas pour habitude de faire durer le suspense, sachez que vous pouvez arrêter de retenir votre souffle. Oui, l’équipe en charge de développer The 3rd Birthday a également décidé de jouer des atouts de la belle, et il vous sera parfois autorisé d’admirer quelques parties de son corps d’habitude cachées. Pour autant, il serait erroné de résumer cette production à un jeu mêlant fusillades et belle pépé. Car en fait, le constat qu’on peut tirer de cette production est tout autre. Si ce 3ème volet de la saga s’est définitivement éloigné du genre du RPG pour embrasser celui du TPS, sans doute plus vendeur en 2011, il n’en reste tout de même pas moins doté d’un système de jeu solide solide. Projeté dans un 2012 aux allures chaotiques, vous allez devoir enrayer la menace du moment grâce à une technologie dont vous êtes la seule (oui, je m’exprime comme si vous étiez dans la peau de Brea) à pouvoir tirer parti. Une question d’ADN, que vous allez d’ailleurs pouvoir trifouiller entre chaque niveau, dans le but de vous constituer des caractéristiques toujours plus gonflées. Mais revenons à nos moutons: comme je vous le disais plus haut, le jeu est désormais proche du TPS pur jus. Ainsi, vous ne serez pas étonné d’apprendre qu’il est scindés en niveau, entrecoupés de phases où vous pourrez booster votre personnage et son arsenal. Jusque là, rien de bien transcendant, la plupart des productions du genre sur consoles de salon utilisent déjà ce squelette, à peu de choses près.
Oui, mais. Car The 3rd Birthday tire sa force d’un point très particulier. La possibilité pour la belle “d’intégrer” si je puis dire le corps de ses alliés, pour prendre leur place, mais également leur barre de vie ainsi que leurs munitions. Mine de rien, ce point amène à lui seul une once de tactique aux gunfights qu’il serait idiot de négliger. Plutôt que d’offrir un banal TPS où il est question d’avancer de salles en salles, vidant chargeurs sur chargeurs, les développeurs du soft ont décidé de nous offrir un jeu, certes très cadré en terme d’évolution, et qui pourra sans doute tirer quelques souffles à ceux mal à l’aise dans les couloirs, mais basé sur des mécanismes réactifs, qui font évidemment tout la différence. Mécanismes sublimés par 2 autres astuces bien trouvées, qui vont permettre à votre personnage d’aller s’immiscer dans le corps d’un ennemi dès qu’il se trouvera mal en point (et donc, de l’éradiquer immédiatement), mais également de passer dans un état proche de la transe, qui vous poussera à devoir réagir vite, en cherchant la solution pour accumuler le plus de dégâts sans perdre la moindre seconde. Pour autant, tout n’est pas rose dans ce 3rd Birthday. A commencer par l’obligation de subir un mode de visé assisté (à de rares exceptions près), qui fera rager les puristes. Pour autant, impossible de ne pas concéder que le principe s’adapte étonnamment bien au genre, pour cette fois… Et puis, si l’on fait fi de la répétitivité, talon d’Achille par excellence du genre, on ne pourra par contre pas passer outre la lourdeur du scénario, entouré du début à la fin par des zones de flou que les joueurs peu familiers avec la série auront bien du mal à percer, et qui, dans la globalité déçoit. On est bien loin de la trame complexe de Parasite Eve premier du nom. Mais était-ce vraiment là le propos?
Si vous vous attendiez à un mélange entre RPG et TPS, c’est râpé ! Si The 3rd Birthday intègre quelques éléments du premier genre (notamment dans la gestion de votre ADN), il n’en reste pas moins qu’il s’articule principalement autour de fusillades, sublimées par des mécanismes de jeu rudement bien trouvées. Revendiquons-le: la PSP est ici tombé sur une perle, qui aurait sans doute gagné à hérité d’un scénario cohérent, mais qui aligne de toutes façons déjà assez de bons points pour mériter de figurer dans votre ludothèque!
Le verdict?
Que signifie cette pastille?
Les +
Un système de jeu bien trouvé
Aya Brea, toujours aussi charismatique
Un replay-value bel et bien présent
Une réalisation graphique plus qu’honorable
Les –
Un scénario flou et mal amené
Un peu répétitif tout de même
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